
Le Dominant
Elle sait que j’en baise plein d’autres. Que j’aime les prendre en levrette soumise, une main ferme dans leurs nuques, et que je leur donne des fessées qui claquent, en leur disant des mots crus et sales à l’oreille.
Elle sait que j’en baise plein d’autres. Que j’aime les prendre en levrette soumise, une main ferme dans leurs nuques, et que je leur donne des fessées qui claquent, en leur disant des mots crus et sales à l’oreille.
Pour ces rendez-vous indécents, elle n’aimait pas porter de culotte. Porter un bustier, un harnais, un porte-jarretelles, un plug… tout ce que vous voulez, mais pas de culotte. Rien que l’idée que son sexe ou son cul soient disponibles d’emblée, ça la faisait mouiller abondamment.
Elle se laissa légèrement emporter. De sa bouche, elle le couvrit de baisers. Ses mains prenaient possession de ce corps masculin, à la fois totalement étranger, mais aussi tellement familier, rassurant. Elle notait sous ses doigts les muscles, les veines, la chaleur, le grain de
Elle les collectionnait. Toutes. Avec une patience infinie et un acharnement qui virait à l’obsession. Elle collectionnait les verges, comme d’autres collectionnent les Rolex. Et elle les exposait, juste pour le plaisir des yeux…
Comme prévu, elle finit par changer les draps, en mettant les draps souillés à la poubelle. Ensuite, elle prit longuement une douche, elle se fit belle: frous-frous et bas à dentelle sous une robe noire, très élégante. Pas de culotte. Rouge à lèvres, très rouge.
– « Offre-toi, donne-moi tout. » Rien qu’à ces mots, elle suintait de partout. Il pouvait lécher des perles de désir entre ses seins, puis descendre de sa langue vers son nombril, et quand il arrivait au bas-ventre, elle disait: – « Enfile-moi, laboure-moi, punis-moi ». Il riait alors
Sans avoir eu le temps de la voir venir, je suis renversée par la déferlante. Par une émotion. Un désir. Submergée par les souvenirs de ma vie de femme, aussi bien les tristes que les joyeux. Des souvenirs, tout en sanglots contenus.Tout en pudeur. Enfin…
Au fond, ce qu’elle voulait – si elle avait pu choisir – c’était bêtement le beurre (son mari) l’argent du beurre (en érection désirante pour elle) et le cul de la crémière (pris à 4 pattes, sans trop de philosophie autour). Quand on a partagé
Des pinces, elle en avait plusieurs. D’abord, celles en bois, plus petites. Leur ressort était plus assoupli, mais elles serraient bien. Elle les utilisait à même les tétons. Leur contact était doux, il y avait un côté nature, naturel. Elle prenait son temps, avant de
Il avait monté les escaliers en courant, jusqu’au 2e. Elle s’était jetée dans ses bras, quasi dans le couloir. La bouche pleine de baisers, l’attente en guise de préliminaires, il l’avait baisée là, debout, contre la porte d’entrée à peine refermée. Son jeans sur les
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