Elle se laissa légèrement emporter. De sa bouche, elle le couvrit de baisers. Ses mains prenaient possession de ce corps masculin, à la fois totalement étranger, mais aussi tellement familier, rassurant. Elle notait sous ses doigts les muscles, les veines, la chaleur, le grain de peau. Lovée contre lui, elle s’enivrait de son odeur. Tout cela faisait du bien.

« Les hommes qui passent »
Tout ça est un jeu, c’est un poker menteur. Je mets une photo, et la moitié des mecs bavent dessus. En vrai, jamais ils ne sortiraient avec moi. Si je leur donnais rendez-vous dans un café, ils feraient demi-tour avant de me parler. Sauf que…