Cette passion était là, naissante, grandissante, dévorante. Le moindre regard, le moindre toucher, les doigts qui s’effleurent sur un geste anodin, ou juste une odeur qui titille… Tout était amplifié.
Comme prévu, elle finit par changer les draps, en mettant les draps souillés à la poubelle. Ensuite, elle prit longuement une douche, elle se fit belle: frous-frous et bas à dentelle sous une robe noire, très élégante. Pas de culotte. Rouge à lèvres, très rouge.
Henry invita Lila à danser. Les voilà, serrés l’un contre l’autre, au plein milieu de cette petite foule en train de s’amuser, sans faire attention à eux… Leurs corps se frottent l’un à l’autre. La main d’Henry glisse dans le dos, jusqu’au creux des reins
Et elle le masturba avec une sorte de tendresse appliquée, de savoir-faire qui le mettait hors contrôle. Il dût se laisser faire, il était entièrement en son pouvoir. Pression, longueur du va-et-vient, rythme… elle avait tout en main, cette fille. On aurait dit la main
Elle avait senti son érection, qui poussait contre son bas-ventre. Aucun doute, le stagiaire bandait dur. Au fond, c’était la seule chose intelligente à faire. A force de côtoyer la mort, on s’accroche à la vie. Baiser ce jeune homme, c’était devenu le symbole de
Elle défit à tâtons sa ceinture, ensuite son pantalon, et pour la première fois, elle glissa une main à la recherche de sa verge… La rencontre fut épique.Elle fit sortir du slip cette verge déjà raide puis, elle l’admira en entier. Il aperçut brièvement l’inquiétude
Et ce furent les 10 minutes les plus électriques de sa vie. Il ne lâcha plus sa main, il suçota et embrassa, l’un après l’autre, chacun de ses doigts. Et pendant que son autre main glissait, confiante sous sa jupe, et écartait l’entre-jambes de sa culotte trempée, sa bouche
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