
La dégaine
Elle marchait derrière cet inconnu qui fumait un cigare. Détail distingué, il portait un chapeau. Ah, mais quelle dégaine! Le tabac parfumé devenait un fil invisible à suivre. Elle rêvait de le suivre au bout du monde…
Elle marchait derrière cet inconnu qui fumait un cigare. Détail distingué, il portait un chapeau. Ah, mais quelle dégaine! Le tabac parfumé devenait un fil invisible à suivre. Elle rêvait de le suivre au bout du monde…
Au téléphone, elle avait dit « je veux juste jouir, simplement, pas de sodomie ». Il savait ce qu’elle désirait. Il était prêt. Depuis quelque temps déjà, ils avaient remarqué le petit jeu du voisin d’en face, celui qui semblait mater depuis son côté de la rue.
Il arrivait, sans crier gare. Il la regardait droit dans les yeux. Il s’arrangeait pour la prendre dans ses bras, vaguement… Ensuite, sa main prenait ses aises dans sa culotte. Et rapidement, elle fondait, elle coulait. Il en profitait.
Jamais je n’aurais pu imaginer que je me retrouverais un jour nue devant un homme, à genoux. Moi nue, et lui pas… Ou du moins, pas au début.
« C’était un couple de quadras comme on en croise des dizaines dans les cinémas d’art et d’essai. Il était grand et fin, elle était pulpeuse et très jolie. Monsieur et Madame Bobo Parisien. Avec un zeste de piment. Cela faisait plusieurs samedis que j’observais leur
Je travaille sur un site industriel d’environ 300 personnes, nous avons sur place un service médical du travail. Une complicité s’est nouée entre moi et l’infirmière du service. Je prenais beaucoup de plaisir à ces échanges innocents, mais j’étais loin d’imaginer ce qui allait en
Performance « live » sur la scène du festival de podcast PodRennes 2023. Il y a une intro pré-enregistrée de 4 minutes (pour créer l’ambiance) suivie d’une mosaïque de 5 mini-récits. Du plus doux (des adolescents en train de tomber amoureux à l’arrêt du bus) jusqu’au plus
« C’est la première fois que je me retrouve dans le lit d’une femme. L’effleurement de ses doigts dans mon dos. Ses mains fines, qui dégagent mes cheveux, pour découvrir ma nuque. Ses baisers tendres, du bout des lèvres. Et ce corps qui se presse doucement
Quand je suis arrivée sur le blog d’Alex de Landes, intitulé « Nus sur le lit« , le premier texte que j’ai lu m’a d’emblée laissée sans voix. Rien que le titre me donnait des frissons… « J’aime les hommes qui ne bandent pas ». Vous entendez? toute la
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