Lâcher prise, faire entièrement confiance, ça n’a pas vraiment été ma spécialité dans la vie. Pour cette raison justement, j’aime bien certaines pratiques sexuelles, qui me poussent à m’abandonner complètement. J’aime me faire dominer car c’est un moyen de confier les rennes à quelqu’un d’autre pour un temps suspendu, où je n’ai plus aucune pression. Rien à décider. Rien à choisir.
Voici la 2e partie du portrait de Cléo. Vous pouvez écouter la 1re partie ici.
Je travaille sur un site industriel d’environ 300 personnes, nous avons sur place un service médical du travail. Une complicité s’est nouée entre moi et l’infirmière du service. Je prenais beaucoup de plaisir à ces échanges innocents, mais j’étais loin d’imaginer ce qui allait en
Cette passion était là, naissante, grandissante, dévorante. Le moindre regard, le moindre toucher, les doigts qui s’effleurent sur un geste anodin, ou juste une odeur qui titille… Tout était amplifié.
Nous étions paresseux dans notre emboitement. Il m’avait dit qu’il pouvait rester jusque tard le soir, alors on faisait durer le plaisir. Il aimait beaucoup que je le chevauche, et il aimait beaucoup voir mes seins bouger.
Tu te souviens? J’avais ta queue dans ma bouche, ton téléphone a sonné. Tu as répondu, c’était la mère de ton fils. Rien d’important, rien d’urgent, mais comme la plupart des femmes, des êtres intuitifs, elle avait ressenti le besoin de t’appeler. Juste à ce
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