Devant sa porte, on s’est embrassés. Puis, enlacés, on s’est laissé emporter jusqu’à la cage escaliers. J’ai glissé ma main sous sa jupe, puis plus loin, dans sa culotte, et j’ai pris plaisir à la faire jouir là, debout, contre les boîtes aux lettres.Il était 4h30 du matin, et je suis rentré chez moi sur trois jambes. Son odeur musquée sur mes doigts. Son goût sur le mégot de ma cigarette. Et des étoiles plein les yeux.

Le Dominant
Elle sait que j’en baise plein d’autres. Que j’aime les prendre en levrette soumise, une main ferme dans leurs nuques, et que je leur donne des fessées qui claquent, en leur disant des mots crus et sales à l’oreille.