Régulièrement, j’accepte d’attacher ce collier de chien autour de ton cou. Pas toujours. Mais quand je le fais, je vois bien que tu t’efforces à garder ton calme. A première vue, tu ne trahis pas tes émotions, mais je sais qu’il me suffirait de glisser un doigt entre tes grandes lèvres gonflées de désir, pour prendre toute la mesure de ton excitation glissante.

Achille (2/2)
Quand j’étais seul avec elle, quand je m’approchais, quand je la touchais… un feu s’allumait dans mes tripes, et me coupait le souffle. Je la voulais! Et je voyais dans son regard, dans ses sourires en coin, que c’était parfaitement réciproque. Un jour, je racontais