Régulièrement, j’accepte d’attacher ce collier de chien autour de ton cou. Pas toujours. Mais quand je le fais, je vois bien que tu t’efforces à garder ton calme. A première vue, tu ne trahis pas tes émotions, mais je sais qu’il me suffirait de glisser un doigt entre tes grandes lèvres gonflées de désir, pour prendre toute la mesure de ton excitation glissante.
Juste une fois, à jamais
Je travaille sur un site industriel d’environ 300 personnes, nous avons sur place un service médical du travail. Une complicité s’est nouée entre moi et l’infirmière du service. Je prenais beaucoup de plaisir à ces échanges innocents, mais j’étais loin d’imaginer ce qui allait en