
Le Dominant
Elle sait que j’en baise plein d’autres. Que j’aime les prendre en levrette soumise, une main ferme dans leurs nuques, et que je leur donne des fessées qui claquent, en leur disant des mots crus et sales à l’oreille.
Elle sait que j’en baise plein d’autres. Que j’aime les prendre en levrette soumise, une main ferme dans leurs nuques, et que je leur donne des fessées qui claquent, en leur disant des mots crus et sales à l’oreille.
Le désir n’est pas synonyme d’érection, tout comme l’éjaculation n’est pas synonyme de jouissance. L’absence d’érection, cela n’arrive pas qu’aux autres… Il faut simplement passer à autre chose, l’essentiel étant de faire plaisir à sa partenaire. Avec l’âge, j’apprécie de plus en plus les chattes
Ce que je fais avec les hommes, je le fais parce que j’en ai envie! C’est à moi que je fais plaisir d’abord. Et cela fait kiffer les mecs de voir que j’aime ça. Apparemment. Lui, il a un ascendant sexuel sur moi et moi,
J’ai toujours été attirée par les jeux sexuels en tout genre, très curieuse, ouverte d’esprit et avide de sensations. Cet homme savait exactement quoi me dire pour m’exciter, j’aimais ce pouvoir qu’il avait sur moi. Il m’a proposé alors que nous nous lancions dans cette
Elle aimait les amants bien plus jeunes qu’elle. Ils avaient cette impatience qu’elle adorait dompter. Ils étaient désinvoltes, toujours prêts à essayer 1001 choses. Certes, leur compliment était parfois maladroit, mais la verge… toujours prête à découvrir de nouvelles sensations.
Je n’avais plus envie de jouer à des jeux de séduction à la noix. Je me suis inscrite sur des sites de cul et ce fut ma période « ingénue ». Il y avait de la lumière quelque part? Je poussais la porte et j’y allais. C’est
Quand j’étais seul avec elle, quand je m’approchais, quand je la touchais… un feu s’allumait dans mes tripes, et me coupait le souffle. Je la voulais! Et je voyais dans son regard, dans ses sourires en coin, que c’était parfaitement réciproque. Un jour, je racontais
Il défit sa braguette, la main cachée sous le journal. Il était tendu comme un arc, raide. Au bord de la crise de nerfs. Mais il voulait le faire, pour elle, pour lui plaire, pour lui faire plaisir.Dans la fraîcheur de la matinée, sa verge
Elle avait senti son érection, qui poussait contre son bas-ventre. Aucun doute, le stagiaire bandait dur. Au fond, c’était la seule chose intelligente à faire. A force de côtoyer la mort, on s’accroche à la vie. Baiser ce jeune homme, c’était devenu le symbole de
Alanguie sur une méridienne, Marlène lisait. Un rayon de soleil était posé sur son ventre doux. Une Madone de pureté… A son arrivée, elle leva les yeux. Elle sourit, puis elle ordonna: « – Déshabillez-vous, entièrement ». Incapable d’articuler le moindre mot, il se déshabilla en silence,
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