Une fois seule dans la chambre, j’ouvre l’enveloppe. Dedans, il y a juste un carton à l’en-tête de l’hôtel et il est marqué, en anglais: get almost naked. Comment ça… presque nue ? Je… je ne comprends pas bien, j’ai un million de questions dans ma tête, mais surtout je réalise que j’aime cette incertitude. On dirait un courant d’air frais dans une chambre ensoleillée. Ça fait du bien. Ça me fait frissonner, j’ai la chair de poule. Et je mouille.